Je m’appelle Dalia, voici le parcours qui m’a mené à la création d’Aloeh Thérapies.

Durant mes études, je me suis beaucoup cherchée pour trouver ce que je voulais faire une fois adulte.

À 20 ans je cumulais deux boulots. J’ai mené une vie carrée durant quatre longues années en étant financièrement stable, avec un appartement et des vacances de temps en temps.

Et puis un jour, je me suis demandée pourquoi j’étais là. Le temps passait sans aucune saveur, j’en oubliais même ce que j’avais fait la veille. Je trouvais mes journées fades… Je me suis perdue en chemin.

J’ai pris le temps de la réflexion et ai imaginé une baguette magique qui me permettrait de devenir la meilleure version de moi-même.

La réponse était claire : ÊTRE ÉPANOUIE, travailler avec mes mains, mon corps, me réaliser et réaliser quelque chose pour les autres et moi, en créant un peu de magie dans nos vies trop bien planifiées.

Je me suis donc inscrite dans une école de massages et j’ai appris à croire en moi, faire confiance à mes mains et me fier à mon instinct.

J’ai ensuite découvert d’autres sortes de thérapies qui m’ont intéressées et que j’ai voulu apprendre, comme la mobilisation articulaire, les ventouses et le magnétisme.

En ce qui concerne le yoga… Je l’ai découvert en Inde, où j’ai pratiqué pendant deux semaines à raison de cinq heures par jour.

Quand je suis rentrée de mon voyage, j’étais une vraie accro : je pratiquais quatre fois par semaine en studio ! Je ne pouvais plus m’en passer.

C’est ce qui m’a décidé à partir faire mon Yoga Teacher Training à Bali en août 2018, avec une pratique de 200 heures, puis 300h supplémentaires en Inde par la suite.

Quelques mois plus tard, en novembre 2018, je créais Aloeh thérapies.

Mon but ? Lier le corps et l’esprit par le yoga et les multi-thérapies, en me basant sur l’intuition du mouvement, la reconnexion des émotions et la liberté des corps.

Avoir plusieurs angles d’approche avec différentes techniques, c’est prendre le trauma dans sa globalité, qu’il soit physique ou émotionnel, afin d’accompagner le patient ou l’élève sur son chemin.

Je m’appelle Dalia, voici le parcours qui m’a mené à la création d’Aloeh thérapies.

Durant mes études, je me suis beaucoup cherchée pour trouver ce que je voulais faire une fois adulte.

À 20 ans je cumulais deux boulots. J’ai mené une vie carrée durant quatre longues années en étant financièrement stable, avec un appartement et des vacances de temps en temps.

Et puis un jour, je me suis demandée pourquoi j’étais là. Le temps passait sans aucune saveur, j’en oubliais même ce que j’avais fait la veille. Je trouvais mes journées fades… Je me suis perdue en chemin.

J’ai pris le temps de la réflexion et ai imaginé une baguette magique qui me permettrait de devenir la meilleure version de moi-même.

La réponse était claire : ÊTRE ÉPANOUIE, travailler avec mes mains, mon corps, me réaliser et réaliser quelque chose pour les autres et moi, en créant un peu de magie dans nos vies trop bien planifiées.

Je me suis donc inscrite dans une école de massages et j’ai appris à croire en moi, faire confiance à mes mains et me fier à mon instinct.

J’ai ensuite découvert d’autres sortes de thérapies qui m’ont intéressées et que j’ai voulu apprendre, comme la mobilisation articulaire, les ventouses et le magnétisme.

En ce qui concerne le yoga… Je l’ai découvert en Inde, où j’ai pratiqué pendant deux semaines à raison de cinq heures par jour.

Quand je suis rentrée de mon voyage, j’étais une vraie accro : je pratiquais quatre fois par semaine en studio ! Je ne pouvais plus m’en passer.

C’est ce qui m’a décidé à partir faire mon Yoga Teacher Training à Bali en août 2018, avec une pratique de 200 heures, puis 300h supplémentaires en Inde par la suite.

Quelques mois plus tard, en novembre 2018, je créais Aloeh thérapies.

Mon but ? Lier le corps et l’esprit par le yoga et les multi-thérapies, en me basant sur l’intuition du mouvement, la reconnexion des émotions et la liberté des corps.

Avoir plusieurs angles d’approche avec différentes techniques, c’est prendre le trauma dans sa globalité, qu’il soit physique ou émotionnel, afin d’accompagner le patient ou l’élève sur son chemin.